Des chercheurs et chercheuses ont montré que des réactions d’oxydoréduction à l’interface entre un métal et certains oxydes peuvent être extrêmement sensibles aux corrélations électroniques. Contrôlables via des impulsions électriques, ces effets ouvrent la voie à de nouvelles fonctionnalités pour l’électronique, notamment dans le domaine des mémoires.
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Contact IPCMS : Daniele PREZIOSI (CR – IPCMS/DCMI)